photo Marché estival 2025

Marché estival 2025

Marché, Artisanat

Marseille 13000

Du 22/06/2025 au 14/09/2025

La 6e édition de "L'Été Marseillais" proposée par la Ville de Marseille est encore plus riche en évènements et rendez-vous phares ouverts à toutes et à tous et gratuit ! Une offre festive, culturelle et sportive gratuite à la portée de toutes et tous. Autour de la trentaine de cabanons présents, les Marseillaises, les Marseillais et les visiteurs pourront redécouvrir le savoir-faire des métiers d’art, de l’artisanat local et des activités commerciales du territoire provençal. Au-delà, ce marché d’été offre, chaque année, des moments de partage et d’échanges entre les producteurs locaux et les visiteurs. De quoi faire du marché d'été un de nos lieux de villégiatures privilégiés ! À travers l'organisation de ce marché estival, la Ville de Marseille soutient les métiers d’art et les artisans locaux, participe au rayonnement du patrimoine marseillais et provençal et réaffirme sa volonté d’animer la saison estivale pour toutes et tous. Le marché se situe sur le Vieux-Port (Quai de la Fraternité) et sur le bas de la Canebière

photo Exposition

Exposition "Perdre son temps"

Exposition, Photographie - Vidéo

Rognes 13840

Du 29/06/2025 au 14/09/2025

Pour la période estivale 2025, Bonisson Art Center est heureux de présenter l’exposition collective Perdre son temps avec les œuvres de Daniel Blaufuks, David Horvitz, Mishka Henner et Hanako Murakami. Organisée dans le cadre du parcours Grand Arles Express des Rencontres d’Arles 2025 et avec le soutien de la galerie Jean-Kenta Gauthier, Paris. L’exposition Perdre son temps rassemble des projets qui invitent à méditer sur l’état de la photographie aujourd’hui: Daniel Blaufuks (né en 1963 à Lisbonne, vit et travaille à Lisbonne) fait son temps, Mishka Henner (né en 1976 en Belgique, vit et travaille à Manchester) prend son temps, David Horvitz (né en 1981 à Los Angeles, vit à Los Angeles) se perd dans son temps, Hanako Murakami (née en 1984 à Tokyo, vit à Paris) remonte le temps. À travers des images, des textes, des sons, une odeur ou encore une œuvre offerte à chaque visiteur, Perdre son temps interroge les origines, la production et la diffusion de la photographie à l’heure où celle-ci semble submerger notre culture.